LES SCANDALES DE L'INDUSTRIE DU MEDICAMENT
SE SUIVENT ET SE RESSEMBLENT:
IL S'AGIT DE SOIGNER LES INTERETS FINANCIERS
DE CETTE INDUSTRIE CONTRE LA SANTE PUBLIQUE, AVEC LA COMPLICITE DU POUVOIR.
Le contexte: l'industrie pharmaceutique est en matière de recherche au bout du rouleau: elle ne découvre plus de nouvelles molécules ou très peu. Pour conserve ses bénéfices fabuleux elle recycle en les modifiants les médicaments connus mais en multipliant le prix par 10 voire 20. Elle met sur le marché des produits dangereux. L'exemple du Médiator est emblématique mais il y a des dizaines de Médiator sur le marché. L'absence d'intérêt des antibiotiques, et leur nuisance dans les cas de maladies à virus fait l'objet de rappels parla sécurité sociale en particulier, mais l'industrie et de nombreux médecins continuent à fusiller le système immunitaire de beaucoup de nos enfants avec ces produits. Je vais essayer de citer les nombreux cas que j'ai colligé ...
L'exemple du vaccin DTP est emblématique d'une pratique mafieuse, c'est pourquoi je publie ci dessous un communiqué qui démonte la manipulation et propose une méthode d'action! Vous comprendrez ainsi le mécanisme mis en place pour faire rentrer toujours plus de milliards dans les caisses de cette industrie, et ceci au dépend de la santé publique. Le même processus est en place pour des dizaines de produits remboursés par la sécurité sociale et dont le prix comme je le dis plus haut a été multiplié par 10 ou 20.
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A l’attention de ceux qui se posent des questions
sur les vaccins obligatoires.
Tout d’abord, il n’y a que trois vaccins obligatoires : diphtérie, tétanos, polio, pas un de plus. Or, depuis le 12 juin 2008, le DTPolio® a été victime d’une « suspension temporaire de distribution » avec retrait de tous les lots existants. Ce vaccin n'est toujours pas revenu sur le marché alors qu’il est le seul vaccin anti Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite disposant d'une AMM pour les enfants de moins de six ans. Cette mesure prise par l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (Afssaps) en accord avec le fabricant Sanofi Pasteur MSD faisait suite « à l’augmentation importante du nombre de réactions à la suite de la vaccination par DTPolio® depuis le début de l’année 2008. » D’ailleurs, Sanofi n'envisage pas de le remettre en circulation, ce qui est compréhensible car son prix était sans commune mesure avec les prix des nouveaux vaccins, bien plus « rentables », on s’en serait douté. Une nouvelle fois, ce vaccin qu’on a trouvé remarquable, efficace, sans aucun effet secondaire, a soudain été retiré d’urgence.
Aussi, les services publics de « santé », qui ont tout prévu sauf les accidents, conseillent à présent de le remplacer par le vaccin Pentavac® qui contient, outre le DTPolio, les valences contre la coqueluche et l’haemophilus ou, mieux encore, le vaccin hexavalent « InfanrixHexa® ». Outre le DTPolio et les valences contre la coqueluche et l’haemophilus, ce vaccin contient aussi l’hépatite B et fait partie des médicaments « sous surveillance avec suivi renforcé ». En d’autres termes, les nourrissons seront vaccinés avec des vaccins non obligatoires, dont celui contre l'hépatite B, sans que la majorité des parents n’en soient avertis.
La Ligue pour la liberté des vaccinations fait remarquer que les valences non obligatoires ne sont pas couvertes pour leurs effets indésirables par la responsabilité de l’État, puisqu’il ne les exige pas. Aussi, la Ligue estime, à juste titre, que l'obligation de vaccination contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite est suspendue pendant la période d'indisponibilité du vaccin DTP. Elle conseille donc à ses adhérents de faire rédiger par leur médecin une attestation que « l'enfant ne peut recevoir le DTP obligatoire, ce dernier ayant été retiré du marché, ce retrait a d'ailleurs fait l'objet d'un communiqué de l'Afssaps le 12 juin. Les autres vaccins ne répondent pas au caractère légal de l'obligation vaccinale en France. Cette situation sera à réexaminer lorsque ce vaccin sera de nouveau disponible. »
Jean-Marie Mora, Président de la Ligue, précise : « L’endos de la responsabilité civile et pénale des effets indésirables dus aux vaccinations s’impose à toute personne exigeant ou pratiquant un vaccin comportant, en plus du DTP (seule vaccination obligatoire), une ou plusieurs valences supplémentaires, ou des rappels non obligatoires, ce qui entraîne de facto l’impossibilité d’utiliser la procédure simplifiée induite par l’article L 3111-9 du code de Santé Publique. Sont dans la même situation, ceux qui proposent d'utiliser le vaccin Revaxis®, qui n’a pas d’AMM pour les enfants en dessous de 6 ans ou en primo vaccination. Sont également dans cette situation, ceux qui proposent d'offrir gratuitement le DTVax, ce dernier n’est plus commercialisé en France et ne correspond pas à la recommandation de l’AFSSAPS, pour les vaccins pédiatriques, car il contient du Thiomersal. »
Jean-MarieMora propose d’écrire ce texte sur la page de droite du carnet de santé face à la page comportant les 3 cases prévues pour noter les 3 injections de la primo vaccination du DTP. Le médecin ajoutera : « Compte tenu de cette situation en conformité avec l’article R 3111-17 du CSP, je soussigné docteur …… déclare surseoir à la vaccination de l’enfant ……. par le DTP en attendant le retour de ce dernier dans les pharmacies.
Fait à …………… le ………..
Tampon et Signature
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Pour ceux qui se posent des questions sur l'industrie pharmaceutique, je propose la lecture du livre: "Notre usine est un roman" de Sylvain Rossignol, livre publié en 2008, aux éditions la Découverte. Il coute 21 €, et se lit comme un roman....