Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 janvier 2015 7 04 /01 /janvier /2015 09:55

Monique-et-Michel.jpgIL FAUT ECOUTER CETTE VIDEO, ET LIRE LE LIVRE

DES AUTEURS.

IL FAUT LA FAIRE CIRCULER LA DIFFUSER MASSIVEMENT.

 

 

Cet interview des sociologues   Monique PINÇON-CHARLOT et Michel PINÇON est de très très loin ce que j'ai écouté de mieux pour comprendre notre monde et son devenir.

Il faut écouter cette vidéo - elle dure 25 minutes - puis lire le livre. Il faut remercier ceux qui l'ont diffusé, jeLa-violence-des-riches.jpg remercie en particulier mon ami Jacques Tourtaux dans le blog duquel j'ai trouvé cette vidéo.

Donner à voir, donner à comprendre comment la classe des riches s'est emparé TOTALEMENT de nous tous, ouvriers, intellectuels, classes moyennes, marins pécheurs paysans etc de notre jeunesse dans le but égoïste d'accumuler toujours plus, est absolument décisif. Cette classe des riches s'est emparé de la totalité de nos vies.

C'est écrit simplement, avec des mots de tous les jours. On comprend comment ça se passe aujourd'hui. On est loin très loin des grandes déclarations des docteurs en marxisme et autres révolutionnaires autoproclamés.

Très simplement Monique la désigne: c'est la classe capitaliste

Un immense merci à Monique et Michel.

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=Ys3cjJlTcDE&feature=youtu.belink

Partager cet article
Repost0
16 octobre 2014 4 16 /10 /octobre /2014 07:42

Article très démonstratif paru dans le « Manuel d'histoire critique » édité par Le Monde Diplomatique. Il montre d'une part qu'il fut possible pour un pays d'Amérique latine  d'avoir un développement économique très important, et ainsi de pouvoir satisfaire les besoins de la populatioin et d'autre part quel fut - et est toujours - le rôle des grandes puissances économiques qui avaient - et ont toujours - comme seul but d'enrichir la classe des riches. Ceci le plus souvent par la force des armes.

Et rien n'a changé dans le monde actuel du XXIéme. Les richesses sont toujours et TOUTES produites par les travailleurs, les ouvriers, les paysans et acaparées par les propriétaires des moyens de productions, les affairistes, les banques, les actionnaires. Bref les parasites inutiles qui imposent leur loi par la violence, la force des armes.

 

 

Et le Paraguay découvrit le libre-échange ...

"Quand il trouve porte close, le libre-échange sait s'imposer par les armes. Adepte d'un protectionnisme rigoureux, le Paraguay en a fait la douloureuse expérience entre 1865 et 1870, lors de la guerre de la Triple Alliance qui l'opposa au Brésil, à l'Uruguay et à l'Argentine. Financés par les milieux d'affaires londoniens, ces trois pays sont parvenus à le soumettre à l'économie-monde britannique".

 

 

Le libre échange, c'est la capitalisme!

Partager cet article
Repost0
2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 09:24

Marinaleda.pngRESISTANCE EN ANDALOUSIE 

 

 

Vidéo de 12 minutes (co-financée par Le Grand Soir) sur Marinaleda, l’extraordinaire petit village andalou où se précipitent, venus du monde entier, des curieux, des sociologues, des rêveurs, des assoiffés de solidarité, de justice, d’égalité et d’amour.  

link-legrandsoir.info/marinaleda


Pour accéder au Grand Soir: link-le grandsoir.info/


Partager cet article
Repost0
24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 08:04

Train-des-Causses.jpg

 

ILS MARCHENT POUR LE TRAIN DES CAUSSES.

 

 

Ils en ont sous le pied les adhérents du collectif de défense de la ligne SNCF Béziers-Neussargues: 260 km pedibus en 7 étapes pour le train des Causses. Partis de Béziers le 4 mai, les marcheurs doivent atteindre Neussargues le 28 mai. Après Neussargues, le prochain arrêt ne sera pas un arrêt-buffet, mais un rendez-vous avec le ministre socialiste des Trasports de François II. Oui, la fermeture de cette ligne est prévue le 1er janvier 2015. "Une connerie, affirme le collectif de défense. Cette ligne offre une alternative au couloir rhodanien. Son intérêt pour développer le fret ferroviaire est évident".

Cliquez sur: link pour en savoir plus.

Partager cet article
Repost0
16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 11:26

Morales-Evo.jpegLES indigènes boliviens se sont longtemps battus pour revendiquer le respect et la reconnaissance de leurs traditions, alors que les politiques néolibérales des gouvernements qui ont précédé Evo Morales s’évertuaient à éliminer les plantations de coca, une plante assimilée à une drogue, ses producteurs à des narcotrafiquants, et le consommateur à un narcodépendant.

C’est ainsi que la feuille de coca était apparentée au trafic de drogue, et l’on ignorait complètement ses composants nutritifs, et le fait qu’il s’agit d’une pratique ancestrale qui a identifié pendant des siècles la culture andine.

Mais cette situation a enfin changé.

Lire la suite: link

 

Partager cet article
Repost0
9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 16:33

Bertella-Geffroy-Marie-Odile.jpegCE DOSSIER EST SUR

LE BUREAU D'HOLLANDE,

SELON FRANCE INTER...

de ce samedi 9 février 2013.

Une pétition est à signer.

 

L’annonce par le ministère de la Justice de la mobilité forcée de la juge d’instruction emblématique des affaires de santé publique, Marie-Odile Bertella Geffroy, qui dirige les enquêtes, notamment sur les affaires de l’amiante, compromet gravement la perspective d’avoir un jour un procès pénal de la plus grave catastrophe sanitaire que la France ait connue.   C’est une péripétie de plus dans cette instruction aux moyens ridiculement faibles, qui vient s’ajouter au manque de volonté politique de voir un jour les responsables de ces délits sanitaires rendre des comptes à la justice. Une péripétie de trop.

Quelques explications:

  • En matière de santé publique, santé-travail, santé-environnement,  la  prévention des risques est certes le meilleur programme. Mais la prévention n’est  possible que si les leçons des accidents et catastrophes sont tirées sur la base d'une identification précise des responsabilités et des responsables, que doivent garantir une justice impartiale, et en amont, une instruction indépendante, disposant de moyens d'enquête adéquats et  pérennes. 

La création en 2003 d'un Pôle Instruction / Santé Publique au tribunal de Grande Instance de Paris pour  l’instruction judiciaire des scandales sanitaires devait répondre à cette nécessité

  • Depuis nombre d’années, on assiste en effet à une multiplication de situations qui mettent en danger la santé publique : sang contaminé, amiante, pesticides, médicaments dangereux, contaminations radioactives. Nombre de ces scandales sanitaires tendent à montrer que des responsables, - du côté des firmes produisant et distributant de matériaux, techniques ou produits dangereux, comme du côté des  autorités en charge de la  prévention et du contrôle -, étaient informés des risques sanitaires induits, et que pourtant ils n'ont pas pris les décisions de contrôle et d’interdiction qui s’imposaient pour supprimer ces risques, avec à la clé des dommages humains considérables. 
  • Il est essentiel que les faits et les actes à l'origine de ces scandales sanitaires fassent l'objet d'une instruction rigoureuse et objective et que les responsables puissent  s'expliquer devant la justice.
  • L’exemple du traitement en France du dossier Amiante montre à l’envi que les conditions et les moyens adaptés d’une instruction indépendante et complète des affaires de sante publique ne sont pas assurés en France 
  • Le refus de donner aux juges les moyens indispensables au traitement d'une affaire de cette ampleur et l'accumulation des  obstacles procéduraux ont fait que, 16 ans après le dépôt des plaintes, le procès n'a toujours pas pu avoir lieu.
  • Les obstacles en effet s’avèrent multiples : mouvements retardateurs, changements de périmètres, arrêts temporaires d’instruction…
  • Et maintenant nous sommes face à l’annonce par le ministère de la Justice du retrait des  fonctions de juge d'instruction de la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy, coordonnatrice de l’instruction au Pôle de Santé Publique, sous le couvert d’une interprétation de la loi limitant la durée de mandat de juges spécialisés nouvellement nommés (ce qui n’est pas son cas).
  • Si la décision d’arrêt  de ses fonctions est confirmée (par la signature du decret par le Président Hollande) , alors même qu’aucune relève n’a été organisée ni prévue, c’est bien tout le dossier de l’amiante qui  risque de se trouver étouffé, comme  d’autres scandales sanitaires. 
  • ==> En signant cette pétition, nous demandons aux autorités françaises :
  • de donner à l’instruction du Pôle Santé tous les moyens nécessaires à un fonctionnement rigoureux, objectif et indépendant, pour l’identification des chaines de responsabilités des affaires de santé publique, 
  • de renoncer à déplacer la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy, et de la maintenir à son poste, afin qu’elle puisse poursuivre son travail d’investigation des dossiers en cours, et mener à son terme son travail d’instruction, 
  • d’appliquer avec régularité, et avec éthique, le principe constitutionnel de l’inamovibilité des juges,  garant essentiel de leur indépendance. 
  • le Ministre de la justice doit cesser d'intervenir dans les dossier.

      Pour en savoir plus rendez vous sur le sitelink

Adresse mail pour   signer:

petition@santepublique-instructionendanger.org

 

Partager cet article
Repost0
6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 15:38

Piquet de grèveLE GOUVERNEMENT 

S'INQUIETE

DES RISQUES 

D'EXPLOSION

SOCIALE

Dans un article publié le 5 février 2013 sur son site, le journal économique L'Expansion publie l'information suivante: (voir le site de l'Expabsion en cliquant sur: link)

"Les services de renseignement de la police ont reçu récemment comme instruction d'anticiper une éventuelle radicalisation de mouvements sociaux. Des policiers sont postés autour des usines.

Face à la multiplication et au durcissement des mouvements sociaux en France, le gouvernement socialiste français s'inquiète désormais ouvertement des risques d'explosion sociale dans le pays.

Les bombes sociales se multiplient en France, ce qui ne manque pas d'inquiéter le gouvernement. Grèves, débrayages, blocages d'usines: face au durcissement des mouvements sociaux en France, le gouvernement socialiste craint désormais ouvertement des risques d'explosion sociale. "La colère sociale, avec les conséquences de la crise économique et financière, la précarité, le chômage, les plans de licenciements, elle est là, elle gronde depuis des années", a reconnu ce mardi 5 février le ministre de l'Intérieur Manuel Valls. "Aujourd'hui on assiste moins à des mouvements sociaux, qu'à des implosions ou explosions sociales", a-t-il mis en garde sur les médias BFTV et RMC. 

Depuis plusieurs mois, le contexte social s'est fortement détérioré en France, avec l'annonce de milliers de suppressions de postes dans différents secteurs: sidérurgie (ArcelorMittal), automobile (PSA, Renault, Goodyear) mais aussi pétrole (Petroplus), chimie (Sanofi), transports (Air France), agro-alimentaire (Doux), etc. Les débrayages et opérations "usine morte" sont devenus quotidiens chez Renault (11.200 suppressions de postes envisagées), où la production a été à plusieurs reprises paralysée, tandis que chez PSA (8.500 suppressions annoncées), l'usine d'Aulnay, en région parisienne, s'enlise dans la grève dans une ambiance délétère. Fin janvier, dans cette usine dont la fermeture est prévue en 2014, quatre grévistes ont été mis à pied "en vue de licenciement" pour leur implication présumée dans l'agression d'un huissier venu constater des "dégradations" sur le site.

Présence policière autour des usines

Dans ce contexte tendu, les services de renseignement de la police ont reçu récemment comme instruction de suivre "au plus près" les entreprises en difficulté afin d'anticiper une éventuelle "radicalisation" de mouvements sociaux. Une note de service, datée du 30 janvier et transmise aux directeurs départementaux de la sécurité publique, souligne "les risques d'incidents" ou d'éventuelles "menaces sur l'outil de production en cas de radicalisation d'un conflit". Ces explosions sociales, "il faut essayer de les comprendre, mais on ne peut pas les admettre", a justifié mardi le ministre socialiste de l'Intérieur. "On peut essayer de comprendre les raisons qui poussent des hommes et des femmes au désespoir", mais "on ne peut pas casser l'outil de travail", a-t-il dit.

A l'usine Renault à Flins, en région parisienne, "il y a de plus en plus de présence policière autour de l'usine avec plusieurs voitures banalisées", témoignait mardi Ali Kaya, délégué syndical. "La police a contacté des délégués syndicaux", a-t-il ajouté. Le secrétaire général de la CGT, premier syndicat de France, Bernard Thibault s'est inquiété mardi d'éventuelles présences des forces de police sur les sites connaissant des conflits sociaux, appelant à les "éviter" car celles-ci seraient "vécues comme des provocations". "Certains commentateurs extérieurs s'émeuvent de la tournure que peuvent prendre certains conflits sociaux", a-t-il déclaré, mais "il faut se rendre à l'évidence: on ne va pas continuer à avoir plusieurs millions de nos concitoyens exclus du travail et que tout ça se fasse dans la plus grande discrétion et le plus grand silence".

 

 

Partager cet article
Repost0